Cet album fait sans autre instrument que la voix et des percussions corporelles, est un subtil mélange des harmonies vocales d'un Bobby McFerrin et de mélodies pop avec un timbre de voix soul à la Otis Redding.

Cette musicienne américaine francophile, Natalia M. King est une artiste intègre qui porte en elle l'héritage des musiques noires, autant leur groove que leur côté identitaire et passionné. Elle rompt aujourd'hui son silence discographique avec un album flamboyant dont elle a écrit et composé la quasi-totalité des titres. Enregistrés "live" en studio avec une grande part donnée à la chaleur des instruments acoustiques, les morceaux de Bluezzin 'till dawn, sont irrigués par une triple force : la spiritualité de la soul, l'intensité du blues, l'esthétisme du jazz, la chanteuse y ajoutant l'énergie de son passé rock. Voilà pourquoi on y croise l'esprit de Nina Simone, de Monk et de Janis Joplin.

All is well, le précédent album, a été une forme d'antichambre de My world. Les compositions et les arrangements reposent sur des choix simples et organiques, choix dictés par la force évidente du groupe : sa valeur acoustique, le "son live", une patine qui ne trompe pas, patiemment rodée au fil de l'activité scénique du groupe. Le disque est l'aboutissement d'un équilibre très efficace que Lisa Simone, Hervé Samb et leurs musiciens ont su faire exister sur scène sans discontinuer deux années durant. De nouveaux instruments sont venus étoffer le groupe originel. Une section de cuivres et des percussions pour soutenir les titres les plus groovy et un quatuor de cordes pour apporter un supplément d'âme.

Ce quatrième album apporte une nouvelle preuve irréfutable de l'importance de l'oeuvre de Gregory Porter, l'artiste parvenant encore une fois à résoudre cette équation en apparence insoluble : être le porte-voix de notre époque tout en faisant preuve de la plus grande fidélité à l'égard de la tradition jazz et soul.

Après avoir exploré le répertoire de Duke Ellington et celui de Billie Holiday, la musicienne américaine revient cette fois aux sources du jazz en explorant ces racines en chantant le blues.

Enregistré à Ivry sur Seine (France) avec Eric Legnini (Claviers), François Delporte (Guitare) et Stephane Galland (Batterie), cet album est avant tout une envie de dessiner avec simplicité l'importance et la nécessaire complexité des choses et des personnes essentielles...

Pour cet album, la musicienne canadienne livre de magnifiques interprétations de morceaux écrits depuis les années soixante, mettant au passage en évidence l'étendue de son talent de chanteuse.

Cet album raconte une passion de toujours ou presque. Une ligne de vie faite de repères, comme le suggère le titre. Il y revisite des classiques qui ont balisé les années 60 et 70, des chansons au parfum jazz. Il faut écouter cet album, comme un hommage personnel. "Chaque titre correspond à un moment de ma vie. Il évoque une image, une période, un sentiment, une couleur, un parfum, un voyage. " Un voyage piloté par les baguettes d'André Ceccarelli.

Aujourd'hui, Brother Jacques (comme on l'appelle à Spanish Harlem) fait partie des saxophonistes majeurs et des plus innovants. Pour ce projet, il accoste les côtes Haïtiennes et approfondit sa relation avec les musiques rituelles et le vaudou Haïtien. Jazz racine Haïti fédère les énergies de deux prêtres vaudous, le chanteur Erol Josué et le percussionniste Gaston Bonga, ainsi que les talents des musiciens de jazz de la scène actuelle, Etienne Charles, Reggie Washington, Grégory Privat et Arnaud Dolmen. Tout en restant ancrée dans les bases du jazz, la musique s'y nourrit de la puissante spiritualité de la musique vaudou.

Composé de Vigon (The Voice 2012), Erick Bamy (choriste de Johnny Hallyday et finaliste de "La France a un incroyable talent" 2010) et de Jay (leader des Poetic Lover), le trio reprend les plus grands standards américains façon soul et nous entraîne du côté de Memphis et de Detroit, pour un album bluffant, gorgé de cuivres et de frissons.

Avec cet opus, le chanteur signe le mariage ente le jazz vocal et du rhythm'n'blues.

Wind a été enregistré en avril 2011 à New-York, à la suite d'une commande de la cinémathèque française et du Fonds d'Action de la SACEM dont l'objectif était de demander à un jeune compositeur de créer une toute nouvelle musique sur le film de son choix dans un sélection de films muets voués a être réédités. Le musicien Franco-Libanais a choisi La proie du vent réalisé par René Clair dont le film se rapprochait énormément de l'univers musical qu'il souhaitait développer. Son envie : adapter l'univers mystérieux et romantique exploité par Miles Davis dans Ascenseur pour l'échafaud de Louis Malle, à une couleur toute nouvelle que la trompette "arabisante" d'Ibrahim est seule à pouvoir apporter.

Le gagnant de l'émission télé "The voice" propose un premier album métissé aux sonorités pop teintées de rhythm'n'blues.

Portée par un choeur gospel, celle qui fut la révélation de la deuxième saison de Popstar revisite avec ferveur les plus grands standards américains et français.

Une voix, un timbre boisé et tendre qui à lui seul raconte déjà une histoire. Ses affinités avec la folk, le rock, la soul et la poésie aident à comprendre les couleurs qui se mélangent dans ses chansons. Ca sonne mélancolique au premier abord mais au fond, c'est toujours pein d'espoir.

Souvent comparé à Marvin Gaye, Otis Redding ou Bill Withers, ce jeune artiste d'origine ougandaise est le vainqueur du prestigieux Sound of BBC 2012, prix déjà remporté par Jessie J, Keane, 50 cent, Mika ou encore Adele pour qui Michael Kiwanuka a fait les premières parties en 2011.

Le deuxième album de cette fanfare d'Emilie-Romagne initie tout un tas de métissages résolument atypiques (jazz, l'afro-funk 70, Amérique Latine, Europe de l'Est, etc) et accueille des invités prestigieux.